Le boycott donne le frisson
Boycott, le mot déclenche aujourd’hui chez les politiques un frisson d’attentat. Ce mode de contestation pacifique est un des plus vieux du monde et désempare la cible visée par son côté insaisissable. Ainsi dans cette affaire d’Orange voulant se dégager de sa filiale opérant dans les territoires palestiniens occupés par l’armée et les colons israéliens, c’est vraisemblablement moins la remise en cause du contrat que le crédit donné au boycott des entreprises jugées complices de cette occupation qui déchaine les réactions politiques.
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