Destruction illégales de cases kanak

Depuis le 24 se­pte­mbre dernier, dans le cadre de la célébration de la fête de la ci­to­yenneté calédonienne, les Kanak de Nouméa avaient construit huit cases sur une place de la capi­tale. Ces cases affirmaient sy­mbo­li­que­ment un re­tour des tri­bus dans la ville. Message large­ment entendu par les jeunes Kanak et leurs aînés, à pre­uve les journées de palabres, les rencontres et partages avec ci­tadins et les to­uri­stes. Bref, un succès d'échanges culturels.

Abonnez-vous !

Ce contenu est réservé aux abonnés. Connectez-vous pour y accéder dans sa to­talité.

Cet article – texte, dessin, photographie ou infographie - vous a plu par les informati­ons qu’il conti­ent, par l’éclairage qu’il appo­rte, par la réflexion ou l’inconfort inte­llectuel qu’il pro­voque, par sa liberté de ton, par le so­urire qu’il fait monter à vos lèvres… SO­UTENEZ NOUS ! Il n’est de pre­sse libre sans indépendance financière. GLOBAL est une asso­ci­ation de journalistes sans but lucratif, sans publi­cité, qui ne vit que des abonne­ments et dons de ses lecte­urs, lec­trices. Pour s’abonner et so­utenir c’est ici.

MERCI DE VOTRE SO­UTIEN !

« L'information est indisso­ci­able de la démo­cratie et les journaux d'informati­ons sont faits pour former et nourrir des ci­to­yen-ne-s plutôt que de les dis­traire »
Gi­lles Luneau, rédacteur en chef de GLOBAL