Par Laurent Gervereau

Coincés entre nationalisme et mondialisation ?

A mesure que les peurs et les révoltes sourdes se développent, peu de visions d’avenir claires apparaissent. C’est normal car la parole est souvent prise par des déçus. Il y eut d’abord les déçus des pays dits communistes. S’apercevant non seulement de l’aspect liberticide de leur système, mais surtout du fait que cette tentative de fin de l’histoire gelait toute initiative, ils basculèrent violemment de l’autre côté. Nous asséner désormais qu’il n’est aucune alternative au capitalisme est un peu court (quand certains peuples vivent encore sans argent).

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