photo Paol Gorneg/Skeudennou ©

Louis Cozan

 « Sans jamais manquer d’amour », Louis Cozan a mené une vie rude. Né à Ouessant en 1947 dans une famille très modeste, « nous vivions au Moyen-âge, c’était le cas de tout le monde sauf quelques bourgeois du bourg », il part travailler à 14 ans ayant perdu père et mère. Son père avait dérogé à la dynastie de ses aïeux gardiens de phare pour lui préférer la marine marchande. Marin rescapé du torpillage du Brazzaville par les Allemands en 1940, il ne survécu pas longtemps d’avoir baigné 18 heures dans le mazout.

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